11/05/2008
Enfer et damnation !
Normalement ,j'aurais dû frimer et vous montrer la photo de l'exemplaire (triplement) dédicacé de "Matin brun " que m'ont très amicalement envoyé Mary et Alain Dollinger. Normalement. Mais suite à un problème technique, blablabla...je ne peux que vous renvoyer ici ! En prime vous verrez la photo de l'auteur de Déneiger le ciel.
Sorry et encore merci à Mary et Alain !
06:55 Publié dans Bric à Brac | Lien permanent | Commentaires (5)
10/05/2008
Index
A la demande générale d'une visiteuse qui se reconnaîtra, à
défaut de mettre de l'ordre dans mes piles de livres, j'en mets(un peu)
dans mon blog. Il était temps !
Je commence par les livres de 2008
et je complèterai au fil du temps avec les lectures
antérieures, ce qui me permettra de ne surtout pas compter combien de
livres j'ai lus !
Abasiyanik Sait Faik : Une histoire pour deux
anthologie:Mes 66 plus belles poésies
Beauchemin jean-françois:Le jour des corneilles
Behar Tonie :Coup bas et talons hauts
Beninca Lise :Balayer fermer partir.
Benni stefano :Margherita Dolcevita
Bienvenu Sophie : Lucie le chien
Bonotaux Gilles :Les la délégation norvégienne
Boyer frédéric : Far-Ouest
Bruen ken:Delirium Tremens
Cachin nathalie : Les trophées de Constance
Cayre Hannelore: Toiles de maître
Célarié Clémentine : Mes ailes
Chosson Martine : Parlez-vous la langue de bois ?
Clewlow carol :pas de mari, pas d'ennuis
Colwin Laurie : Accidents
Corenblit Rachel : shalom, salam, maintenant
Cusset Catherine:La haine de la famille
Delachair Lou: Boris Vian et moi
De peretti : nous sommes cruels
de Vigan delphine : No et moi
Desouches Thierry :Quand les poules auront des dents
Desplechin marie :Pome
Dessaint Pascal :Cruelles natures
Diwan Audrey :La fabrication d'un mensonge
Drabble Margaret :La mer toujours recommencée
El Ayachi Samira :La vie rêvée de Mademoiselle S.
Extebarria Lucia : Cosmofobia,
Eyre Ward Amanda :A perte de vue
Fougeray karine : Kerr Violette
Friot Bernard : agenda du (presque) poète
Gallay Claudie : dans l'or du temps
Gavalda anna : la consolante
Goby Valentine:le cahier de Leïla, de l'Algérie à Billancourt.
Indridason Arnaldur : la voix
Janicot Stéphanie : le privilège des rêveurs
Jeanney Christine :Charlémoi
Johnson pete :Croyez-moi, je suis un rebelle
July Miranda : Un bref instant de romantisme
Kavian Eva: la dernière licorne
Kérilis hélène : la magisorcière et le tamafumoir
Kurayanagami Tetsuko: Totto-Chan
Kuipers alice : Ne t'inquiète pas pour moi
Lackberg Camilla :La princesse des Glaces
Lafon Marie-Hélène: maison Santoire
Lesbre Michèle : le canapé rouge
Lewycka marina :Une brève histoire du tracteur en Ukraine
loe Erlend :Autant en emporte la femme
Malineau,jean-Luc :Proverbes et dictons farfelus
Marietta Agnès : N'attendez pas trop longtemps
Mazetti Katarina : entre le chaperon rouge et le loup c'est fini
Montero Rosa : la fille du cannibale
Moore Christopher: Le lézard lubrique de Melancholy Cove
Nessmann Philippe :Toutes les réponse aux questions que vous ne vous êtes jamais posées
mainard Doninique : Ma vie en dix-sept pieds
Manto Saadat Hasan : Viande froide
Minervudottir Gudrùn Eva :Pendant qu'il te regarde tu es la Vierge Marie
Mopurgo,Michaël :L'histoire de la licorne.
Morton brian : une fenêtre sur l'Husdson
Morton Kate : Les brumes de Riverton
Neruda Pablo : le livre des questions
O'riordan Kate :Le garçon dans la lune
O'Farrell Maggie : L'étrange disparition d'Esme Lennox,
Pancol Katherine : la valse lente des tortues
Pélegrin Dominique Louise : Ciel! Ma prairie
Pelot Pierre : La croque buissonnière
Perkins Gilman charlotte : la séquestrée
PetitJean -Cerf Cypora :le musée de la sirène
Petitjean-Cerf :le corps de Liane
Pulsatilla :La cellulite, c'est comme la mafia, ça n'existe pas.
Phillips Marie : Les dieux ne valent pas mieux
Potter Ellen : Olivia Kidney
Olivia Kidney et l'étrange maison de l'au-delà
Pullman : les royaumes du Nord
Rey Georges-François : Sauter du coq à l'âne
Reyboz cécile : Chanson pour bestioles
Reysset karine :Comme une mère.
Romer Knud: Cochon d'Allemand
Roza Bruno:Leçons de choses
Rubin Gabrielle : pourquoi on en veut aux gens qui nous font du bien
Saumont Annie : Vous descendrez à l'arrêt Roussillon
Schneider Michel :Marilyn dernières séances
Sebbar Leïla : Louisa
Sheridan Peter : la guerre des légumes
Ternynck catherine: Chambre à part
Thibert Colin :Tirez sur l'ambulance .
Trollope Joanna : les vendredi d'Eleanor
Vanyda : l'immeuble d'en face
Varley Jane Elisabeth :les femmes et les amants
Vaude Mary-Gérard : Fous de vaches
Wharton Edith: Xingu
Watara Risa : appel du pied
Watara Risa: Install
Zalberg Carole : La mère horizontale
Zariâb Spôjmaï : Dessine-moi un coq
06:19 Publié dans index | Lien permanent | Commentaires (19)
09/05/2008
De l'intérêt de ne pas avoir d'écrivain dans sa famille...
J'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois pour terminer La haine de la famille de Catherine Cusset.Non que l'écriture en soit lourde ou l'histoire inintéressante mais parce que j'avais la désagréable impression de devenir voyeure tant le lecteur se doute que cette famille,haute en couleurs, a beaucoup de parenté avec celle de l'auteure.
Marie, la narratrice se met d'ailleurs peu en scène, préférant se concentrer sur le reste de sa parentèle. Sa mère, toujours vêtue de rouge, qui a mené une carrière brillante au barreau ,mais estime que sa vie est vide. Son père qui ne cesse de rouspéter, n'arrivant pas à endiguer le désordre causé par ses enfants, sa femme ou sa belle-mère.
Rien ne nous est épargné de la constipation des unes ou des autres (ou des crottes flottant dans la mer sous le nez de celle qui vient de se soulager...), de l'apparente irresponsabilité d'une soeur qui collectionne les amants et les enfants mais entreprend à 40 ans des études de médecine.
Quant à la grand-mère, petite bonne femme d'un mètre cinquante, elle a tenu tête aux policiers françias venus l'arrêter pendant la Seconde Guerre Mondiale, a sauvé ses filles par son aplomb mais termine sa vie d'une manière déchirante...
Pas de morale à ce récit, à nous de nous dépatouiller avec cette famille pas si haïe que cela-bien au contraire- et qui ressemble un peu à la nôtre...
06:03 Publié dans romans français | Lien permanent | Commentaires (12)
08/05/2008
Recyclage ?
Delirium Tremens inaugure la série de Ken Bruen consacrée à JackTaylor, irlandais spécialisé dans la recherche de personnes ou de choses disparues, car pas question de parler de détective privé en Irlande...
J'y ai trouvé beaucoup de points communs avec le roman évoqué précédemment : une intrigue nonchalante avec ici des ellipses encore plus grandes car le héros se retrouve dans le coma plusieurs jours et l'énigme est résolue presque sans lui. une même tendance à l'autodestruction, de l'humour bien sûr, "Fragile? Cet arnaqueur? Il serait capable de construire un nid dans ton oreille et de te faire payer le loyer !" mais j'ai franchement été déçue quand j'ai retrouvé la même histoire concernant la mort d'un père , celui du héros dans Hackman Blues, celui de l'associée de Jack dans ce roman...Sans compter d'autres troublantes similitudes (attention si un simili détective irlandais vous offre des chaussettes roses ou rouges, votre vie est en danger...).
Ici va donc s'achever ma découverte de cet auteur. Dommage !
06:02 Publié dans romans étrangers | Lien permanent | Commentaires (11)
07/05/2008
"Laisse tomber! Des mecs, il y en a partout.Un job comme ça, on n'en trouve pas tous les jours."
Sans l'aide d'aucun réseau relationnel, Dahlia Arditi a réussi à entrer dans une grande et très chic agence parisienne de relations publiques. Là, elle va devoir affronter sa supérieure hiérarchique, Chloé de Lignan, alias Cruella, tant sur le plan professionnel que sur le plan amoureux, les deux demoiselles étant tombées amoureuses du même homme...Coup bas et talons hauts , tout est permis pour emporter les budgets des clients et le coeur du bel Adam...
N'étant guère sentimentale,je me suis souciée comme d' une guigne de l'histoire d'amour.Tonie Behar barbote en outre allègrement dans les clichés ( ce qui est un peu la loi du genre, mais point trop n'en faut) et j'ai même eu un mouvement de recul à la lecture de la rencontre-ratée (dans tous les sens du terme) des deux héros. Néanmoins, quand l'auteur s'affranchit du carcan de la chick litt, on ne peut qu'apprécier la description des coulisses de ce monde du luxe.J'ai aussi été très touchée par la description de cette tribu familiale et matriarcale de l'héroïne.Ces femmes chaleureuses et hautes en couleurs entraînent aussitôt notre sympathie, plus peut être d'ailleurs que Dahlia qui est une allumeuse sans scrupules...
La scène finale, par son point de vue original, rattrape largement le début et entre les deux on ne s'ennuie pas une minute !
Un roman qui tient ses promesses : nous faire passer un bon moment.
Le site de l'auteure
06:00 Publié dans romans français | Lien permanent | Commentaires (12)
06/05/2008
"Parnoir,enjambe ta culotte et suis-moi !"
Vous qui aimez les mots, les mots anciens, les mots qui roulent comme des cailloux, précipitez-vous sur Le jour des corneilles , de Jean-François Beauchemin !
Le père Souche et son fils (qui n'a pas d'autre identité) vivent à l'écart d'un village, en autarcie.
Le père, sorte de Géant rabelaisien, la bonhommie en moins, lit dans les étoiles, tandis que le fils voit sans souci particulier les trépassés évoluer autour de lui. Parmi ces derniers, sa mère, morte lors de sa mise au monde.
Le père rudoie le fils qui supporte sans broncher les crises de folie paternelles, espérant toujours recevoir une preuve d'amour, cet amour dont il est assoiffé.
En 150 pages, Beauchemin crée des personnages inoubliables,un univers dense et rude où la vie et la mort se mélangent sans cesse. En effet, pour le premier repas de son fils, le père lui donne du lait provenant d'un cadavre de hérisson femelle."ce fut ma première pitance sur le domaine de la Terre : le lait d'une b^te morte achevée par Père. Ce fut par même occasion ma première rencontre véritable avec la mort, véritable en ce que j'en fus pénétré, puis nourri. Toute ma vie , cela devait me rester inscrit au ventre: par là le trépas avait tracé sa sente en ma personne; comme mots se formant et s'alignant sur la page." Surprenant et fort.
Un grand merci à Val qui me l'a fait découvrir et me l'a gentiment prêté !
L'avis de Malice
06:03 Publié dans romans étrangers | Lien permanent | Commentaires (8)
05/05/2008
"Etre comme tout le monde est tellement chiant. Voilà le piège dans toute sa séduisante folie"
Trouvé à la médiathèque mais annoncé comme devant sortir bientôt en poche, Hackman Blues est mon premier contact avec Ken Bruen, auteur dont Cuné avait parlé avec tant d'enthousiasme.
Brady cumule: Irlandais, souffrant de troubles bi-polaires (sa vie est une succession de montagnes russes entre périodes d'exaltation intense et dépressions profondes), il jongle entre alcool et lithium et, bien qu'âgé de 50 ans , se conduit souvent comme un ado attardé et lit énormément. A défaut d'être joyeux, il est gay , fait preuve de beaucoup d'agressivité mais aussi d'humour et de lucidité.Bref, on n'a pas le temps de s'ennuyer une minute avec lui !
Ce n'est pas pour autant qu'il manifeste beaucoup d'enthousiasme pour retrouver Rozaleen, la fille d'un promoteur immobilier, fan de l'acteur Gene Hackman. On le serait à moins car voici ce qu'il pense en découvrant la photo de la disparue : "Merde un chien ! Et comme c'était une photo, avec tout le talent du photographe professionnel, Dieu seul savait à quel point elle pouvait être moche."
Bruen s'avère le roi de l'ellipse, passant sous silence les explosions de violence qui parsèment le récit , mais les rendant en cela encore plus efficaces. L'histoire, qui s'emballe soudain, n'est pas vraiment la priorité de l'auteur, qui préfère et de loin s'attarder sur ses personnages, ciselant ses dialogues,bourrés d'humour.
A savourer sans modération !
06:04 Publié dans romans étrangers | Lien permanent | Commentaires (10)
04/05/2008
Si vous aimez...vous aimerez ...
Une carte magique où taper le nom d'un auteur fera apparaître les noms de ceux susceptibles de vous plaire !
Plus les noms sont proches, plus les auteurs le sont et on peut cliquer sur les noms qui apparaissent et se perdre...Bon dimanche !
c'est ici
06:15 Publié dans Bric à Brac | Lien permanent | Commentaires (16)
03/05/2008
tag ada tsoin tsoin
Le tag de la mort qui tue est arrivé chez moi. Lancé par Thom, reçu par Cuné, So, puis Alinéa , Fashion, et Amanda qui me l'a renvoyé...
Le premier taggué pose un question et l'envoie à un autre bloggueur, qui répond à la première question, pose à son tour une autre question et l'envoie à son ennemi préféré. Lequel doit répondre aux deux questions, en poser une autre et refourguer le tout à une troisième victime. Et ainsi de suite.
Vous pouvez d'ailleurs suivre les déambulations hasardeuses de ce Tagathom sur la carte créée par Mr. Kiki. Kikimundo y trace la carte des deux tags lancés par Thom (parce que le fripon a lancé deux tags du même principe).
C'est parti, mon kiki !
Question 1, lancée par Cuné : On a tous un sosie quelque part. Quelqu'un qui nous ressemble un peu, tout au moins. Ou alors quelqu'un qui a fait penser quelqu'un d'autre à nous lorsqu'il l'a vu(e). Parfois, ça peut entraîner de lourds ressentiments. Si on me dit que je ressemble à Nicolas Sarkozy, par exemple, je pleure. Alors, à qui t'a-t-on déjà dit que tu ressemblais ? (Même de loin, ou de profil, ou philosophiquement parlant, ou pour déconner, rhoo !)
J'ai déjà répondu à cette question avant qu'on me la pose, ici. Je sais même où bosse mon sosie mais bizarrement je n'ai jamais trouvé le temps d'aller la voir...
Question 2, posée par So. : tu dois tuer la personne avec qui tu vis, comment t'y prends-tu pour ne pas te faire choper ?
Facile, l'idée je l'ai trouvée dans un recueil de nouvelles, dont j'ai évidemment oublié le titre: un homme se "suicide" en payant une femme pour lui mitonner des petits plats bien gras, bien sucrés...
Il suffit donc de donner à votre moitié de quoi bétonner ses artères...Pourquoi n'est-ce pas moi qui cuisine à la maison ? L'homme aurait-il lu en cachette le texte en question? ...
Question 3, que nous devons à Alinea : Si tu devais être privée de l'un des cinq sens, lequel choisirais-tu ? Pourquoi ?
Là aussi, facile, je préfère perdre l'audition, ça limitera le nombre de bêtises que je suis amenée à entendre à longueur de journée. Ex "Donne-moi un mot de la famille de las *. Réponse triomphale après trituration des ( deux) neurones:" Las-Vegas ! "(je jure que l'humour n'entrait nullement en ligne de compte dans cette réponse)
* Vous remarquerez au passage l'aspect révélateur du mot choisi...
Question 4, posée par Fashion : Quel titre dont tu as (un peu, beaucoup, passionnément) honte se cache dans ta bibliothèque ?
Déjà répondu aussi ,ici ! Je ne désespère pas de faire pire, un super nanar titille ma curiosité en ce moment...
Celle d'Amanda, enfin:
Tu viens de mourir. Saint Pierre était bourré quand tu es arrivé(e) devant les portes du Paradis et t'a indiqué la mauvaise porte. Te voilà devant Bouddha qui t'informe que tu dois te réincarner. Tu peux choisir ce que tu veux, sauf te réincarner en toi, faut évoluer ma vieille (mon vieux). Alors ? En quoi choisis tu de te réincarner ?
Je copie sur Woody Allen -qui a bien potassé la question- mais pas pour les mêmes raisons: une éponge; lui la choisit parce qu'elle n'a pas de prédateur et mène donc une petite vie peinarde ,sans angoisse, sans psychanalyse à l'horizon; moi pour me retrouver dans des endroits intéressants...
Quelle question ne voudrais-tu surtout pas que l'on te pose ? Hein? Allez, avoue , Anne !
06:15 Publié dans Bric à Brac | Lien permanent | Commentaires (16)
02/05/2008
Luttons contre la mondialisation !
Et une bloggueuse éditée,une ! Mais cette fois en Italie.
Pulsatilla n'a pas sa langue dans la poche et tire sur tout ce qui passe à sa portée : sa famille, les culottes, les règles, l'épilation, la cellulite mais La cellulite, c'est comme la mafia, ça n'existe pas.
Elle fustige tout ce qui est imposé aux femmes par la société en matière d'esthétique mais barbote avec jubilation dans la société de consommation...
Je me suis régalée avec sa description des différents types de phallus ainsi que du récit de ses tentatives pour ruiner la réputation de sa compagne de chambre - trop parfaite- dans un pensionnat religieux où la délurée Pulsatilla avait échoué un peu par hasard.
C'est drôle,léger, enlevé, volontairement cru,de quoi passer un bon moment même si parfois le livre devient un peu lassant car , présenté comme un "bio-roman", on sent néanmoins trop l'aspect "chronique," sans véritable structure narrative.
Ps: J'y ai appris au passage que le mot "sparadrap" viendrait de l'italien (plus précisément d'un dialecte de la région de Foggia d'où est originaire l'auteure) et qu'au départ ce serait une onomatopée "qui porte en elle toute la douleur causée quand on l'arrache."
Cuné a moins aimé mais elle a eu la gentillesse de me l'envoyer. Merci !
06:10 Publié dans romans étrangers | Lien permanent | Commentaires (11)