« 2008-04 | Page d'accueil
| 2008-06 »
04/05/2008
Si vous aimez...vous aimerez ...
Une carte magique où taper le nom d'un auteur fera apparaître les noms de ceux susceptibles de vous plaire !
Plus les noms sont proches, plus les auteurs le sont et on peut cliquer sur les noms qui apparaissent et se perdre...Bon dimanche !
c'est ici
06:15 Publié dans Bric à Brac | Lien permanent | Commentaires (16)
03/05/2008
tag ada tsoin tsoin
Le tag de la mort qui tue est arrivé chez moi. Lancé par Thom, reçu par Cuné, So, puis Alinéa , Fashion, et Amanda qui me l'a renvoyé...
Le premier taggué pose un question et l'envoie à un autre bloggueur, qui répond à la première question, pose à son tour une autre question et l'envoie à son ennemi préféré. Lequel doit répondre aux deux questions, en poser une autre et refourguer le tout à une troisième victime. Et ainsi de suite.
Vous pouvez d'ailleurs suivre les déambulations hasardeuses de ce Tagathom sur la carte créée par Mr. Kiki. Kikimundo y trace la carte des deux tags lancés par Thom (parce que le fripon a lancé deux tags du même principe).
C'est parti, mon kiki !
Question 1, lancée par Cuné : On a tous un sosie quelque part. Quelqu'un qui nous ressemble un peu, tout au moins. Ou alors quelqu'un qui a fait penser quelqu'un d'autre à nous lorsqu'il l'a vu(e). Parfois, ça peut entraîner de lourds ressentiments. Si on me dit que je ressemble à Nicolas Sarkozy, par exemple, je pleure. Alors, à qui t'a-t-on déjà dit que tu ressemblais ? (Même de loin, ou de profil, ou philosophiquement parlant, ou pour déconner, rhoo !)
J'ai déjà répondu à cette question avant qu'on me la pose, ici. Je sais même où bosse mon sosie mais bizarrement je n'ai jamais trouvé le temps d'aller la voir...
Question 2, posée par So. : tu dois tuer la personne avec qui tu vis, comment t'y prends-tu pour ne pas te faire choper ?
Facile, l'idée je l'ai trouvée dans un recueil de nouvelles, dont j'ai évidemment oublié le titre: un homme se "suicide" en payant une femme pour lui mitonner des petits plats bien gras, bien sucrés...
Il suffit donc de donner à votre moitié de quoi bétonner ses artères...Pourquoi n'est-ce pas moi qui cuisine à la maison ? L'homme aurait-il lu en cachette le texte en question? ...
Question 3, que nous devons à Alinea : Si tu devais être privée de l'un des cinq sens, lequel choisirais-tu ? Pourquoi ?
Là aussi, facile, je préfère perdre l'audition, ça limitera le nombre de bêtises que je suis amenée à entendre à longueur de journée. Ex "Donne-moi un mot de la famille de las *. Réponse triomphale après trituration des ( deux) neurones:" Las-Vegas ! "(je jure que l'humour n'entrait nullement en ligne de compte dans cette réponse)
* Vous remarquerez au passage l'aspect révélateur du mot choisi...
Question 4, posée par Fashion : Quel titre dont tu as (un peu, beaucoup, passionnément) honte se cache dans ta bibliothèque ?
Déjà répondu aussi ,ici ! Je ne désespère pas de faire pire, un super nanar titille ma curiosité en ce moment...
Celle d'Amanda, enfin:
Tu viens de mourir. Saint Pierre était bourré quand tu es arrivé(e) devant les portes du Paradis et t'a indiqué la mauvaise porte. Te voilà devant Bouddha qui t'informe que tu dois te réincarner. Tu peux choisir ce que tu veux, sauf te réincarner en toi, faut évoluer ma vieille (mon vieux). Alors ? En quoi choisis tu de te réincarner ?
Je copie sur Woody Allen -qui a bien potassé la question- mais pas pour les mêmes raisons: une éponge; lui la choisit parce qu'elle n'a pas de prédateur et mène donc une petite vie peinarde ,sans angoisse, sans psychanalyse à l'horizon; moi pour me retrouver dans des endroits intéressants...
Quelle question ne voudrais-tu surtout pas que l'on te pose ? Hein? Allez, avoue , Anne !
06:15 Publié dans Bric à Brac | Lien permanent | Commentaires (16)
02/05/2008
Luttons contre la mondialisation !
Et une bloggueuse éditée,une ! Mais cette fois en Italie.
Pulsatilla n'a pas sa langue dans la poche et tire sur tout ce qui passe à sa portée : sa famille, les culottes, les règles, l'épilation, la cellulite mais La cellulite, c'est comme la mafia, ça n'existe pas.
Elle fustige tout ce qui est imposé aux femmes par la société en matière d'esthétique mais barbote avec jubilation dans la société de consommation...
Je me suis régalée avec sa description des différents types de phallus ainsi que du récit de ses tentatives pour ruiner la réputation de sa compagne de chambre - trop parfaite- dans un pensionnat religieux où la délurée Pulsatilla avait échoué un peu par hasard.
C'est drôle,léger, enlevé, volontairement cru,de quoi passer un bon moment même si parfois le livre devient un peu lassant car , présenté comme un "bio-roman", on sent néanmoins trop l'aspect "chronique," sans véritable structure narrative.
Ps: J'y ai appris au passage que le mot "sparadrap" viendrait de l'italien (plus précisément d'un dialecte de la région de Foggia d'où est originaire l'auteure) et qu'au départ ce serait une onomatopée "qui porte en elle toute la douleur causée quand on l'arrache."
Cuné a moins aimé mais elle a eu la gentillesse de me l'envoyer. Merci !
06:10 Publié dans romans étrangers | Lien permanent | Commentaires (11)
01/05/2008
Marions-les ,marions-les
Ne pas se fier à la couverture sucrée du roman d'Audrey Diwan, la fabrication d'un mensonge n'est pas un roman sentimental , loin s'en faut.
De mariage il en sera certes question puisque l'héroïne qui navigue depuis sept ans de la philosophie à l'ethnologie en passant par l'histoire de l'art, trouve un job d'été dans une boutique un peu miteuse "Mariage 2000". C'est là que Raphaëlle va se jeter "avec une certaine allégresse" dans les griffes de Lola, menteuse patentée.
La dilettante qui travaille "pour qu'il lui arrive des choses" connaîtra une expérience marquante avec cette fille débrouillarde et rusée qui la fascine.
Un style vigoureux et une vraie aisance dans la narration. Une auteure à découvrir et à suivre.
L'avis plus nuancé de Laure
06:05 Publié dans romans français | Lien permanent | Commentaires (8)