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« Je pleure encore la beauté du monde | Page d'accueil | Et d'une vie toute animale »

28/05/2024

#Quandlesfemmesétaientdesoiseaux #NetGalleyFrance !

" Quand nous n'écoutons pas notre intuition, nous abandonnons nos âmes. Nous abandonnons nos âmes car nous craignons que, sinon, les autres ne nous abandonnent. Nous avons été élevées à douter de ce que nous savons, à ignorer et à sous-estimer l'autorité de notre instinct."

A la mort de sa mère, l'autrice ouvre les carnets que celle-ci lui a légués. Or, ils sont vides.Tout au long des cinquante quatre courts chapitres qui constituent ce livre , Terry Tempest Williams va interroger la notion de voix, la sienne, celle de sa mère, la voix de chacun.e . Nos voix sont-elles empêchées ? Est-ce un choix que de se taire ? terry tempest williams
Revenant sur des épisodes marquants de son existence, l'autrice nous livre un portrait pointilliste d’elle-même, parfois dérangeant, parfois surprenant et aussi, il faut bien l'avouer, longuet (je pense ici à la manière trop détaillée dont elle revient sur l'âpre lutte juridique et politique menée pour sauvegarder un territoire).
Scandé par le leitmotiv des métaphores désignant les carnets de sa mère , l'autrice mène une réflexion exigeante et intéressante sur la nécessité , ou non, de s'exprimer.

 

Phébus 2024. Traduit de l'anglais 'E-U) par Gaëlle Cogan.terry tempest williams

 

 

 

 

Commentaires

Le titre est beau mais tes réserves me freinent.

Écrit par : Aifelle | 28/05/2024

Intriguant tout de même.
Merci pour le partage.

Écrit par : Katell | 28/05/2024

Aifelle, apparemment son autre roman est plus accessible.
Tant mieux, Katell, s'il a attiré ton attention.

Écrit par : cathulu | 29/05/2024

Les commentaires sont fermés.