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17/09/2018
Onzième roman, livre dix-huit
"Percepteur le jour, enthousiaste le soir. Cela suffisait-il ? Ne pouvait-il y avoir autre chose ? "
Il a changé de femme, de profession et retrouve son fils devenu étudiant, qui va loger chez lui alors que, quinquagénaire , il est redevenu solitaire. Pourtant, Bjorn Hansen, n'a jamais vraiment eu l'impression de maîtriser sa vie.
Quel roman étrange que celui-ci ! les personnages donnent l'impression de se frôler constamment sans jamais vraiment se rencontrer, à l'image de ce père et ce fils qui évitent au maximum les interactions. Je n'ai éprouvé nulle empathie et suis un peu restée sur ma faim.
06:00 Publié dans rentrée 2018, romans étrangers | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dag solstad
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