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12/08/2010
Des vies sans couleurs
"Ignominie, donc, voilà le mot qui décrit son état."
La jeune Marion Campbell dirige une agence de voyages en Afrique du sud. Une photographie à la Une d'un journal va faire résurgir des souvenirs que son père refusera de préciser. Marion va donc mener une quête d'identité, quête liée à la période à la fois folle et trouble de l'apartheid.
La vérité découverte par la jeune femme explique sa réserve et le contrôle permanent de ses émotions. Néanmoins, cette raideur permanente nuit à l'empathie et le lecteur ne peut que se tenir à distance, regrettant de ne pas sentir palpiter davantage le coeur de cette Afrique que Marion affirme tellement aimer.
Des vies sans couleur, Zoë Wicomb, 10/18 2010, traduit de l'anglais par Catherine Lauga Du Plessis, 282 pages trop empesées.
06:00 Publié dans romans étrangers | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : zoe wicomb, afrique du sud
Commentaires
Dommage, le thème aurait pu me tenter.
Écrit par : Aifelle | 12/08/2010
Oui, dommage.
Écrit par : Cuné | 12/08/2010
Aifelle, Cuné, il suffisait de presque rien, je l'ai lu sans déplaisir mais sans coup de coeur non plus.
Écrit par : cathulu | 12/08/2010
Le roman paraissait pourtant intéressant, dommage.
Écrit par : Marc | 12/08/2010
Le titre lui va bien alors...
Écrit par : BelleSahi | 12/08/2010
Marc, il déploie en tout cas tout un pan de l'Histoire de ce pays.
Belle, oui et il joue en plus sur un autre sens...
Écrit par : cathulu | 12/08/2010
Cela avait l'air alléchant mais j'ai trop noté de titres alors le moindre bémol, et hop, pas de LAL !
Écrit par : Joelle | 13/08/2010
Joëlle, voilà qui est sage!:)Surtout, surtout, lis le poète!:)))
Écrit par : cathulu | 13/08/2010
Les commentaires sont fermés.