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12/07/2010
Celui qu'on ne voit pas. (dans sa PAL)
"Il ne voulait probablement pas se promener en ville une hache sous le bras."*
Une île suédoise séduisante, Gotland. Un tueur en série qui sévit à la veille des vacances et risque de compromettre la saison estivale. La pression est lourde sur le commissariat.
Certainement pas sur le lecteur qui lit sans déplaisir ce roman facile mais qui peine à instaurer un quelconque suspense.
L'auteure semble nettement plus à l'aise pour peindre en quelques lignes des portraits de femmes , (femmes avec lesquelles nous n'aurons guère le temps de faire plus ample connaissance, c'est la loi du genre ) et semble ne pas avoir su trancher entre le roman à l'eau de rose et son vocabulaire adéquat, "l'exquise collection de spiritueux et de shakers sur une étagère", "Une élégante chaîne hi-fi" et une intrigue parfois naïve (voir la citation donnée en titre).
On va paresseusement jusuq'au bout et on oublie aussitôt.
*Phrase qui m'a aussitôt fait penser à cet exemple de Jean-Louis Fournier dans l'un de ses manuels impertinents: "Pardonnez-moi, je suis pressé, je vais assassiner ma mère."
06:00 Publié dans romans étrangers | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : mari junstedt
Commentaires
Oui bon .. je ne note que le meilleur, donc là je zappe.
Écrit par : Aifelle | 12/07/2010
Je passe, marre des thrillers en ce moment...
Écrit par : ptitlapin | 12/07/2010
Aifelle, ta LAL te remercie!
Ptitlapin, en plus celui-ci est plutôt banal.
Écrit par : cathulu | 12/07/2010
J'irai donc chercher un peu de fraîcheur ailleurs qu'à Gotland !
Écrit par : Tamara | 15/07/2010
Les commentaires sont fermés.